Musée du Louvre. Ces textes et ces images visent donc à manifester la puissance des souverains assyriens, au service du dieu national Assur qui est considéré comme le véritable maître du royaume[176]. Von den Sumerern bis zu Alexander … Pergamon Museum. Les temples restent un acteur économique majeur, comme le documentent les importantes archives de l'Ebabbar de Sippar et de l'Eanna d'Uruk, qui disposent de vastes domaines, de grands troupeaux, d'ateliers, de résidences urbaines mises en location, employant une vaste population de dépendants, notamment les « oblats », population servile utilisée pour tous types d'activités. Le IIIe siècle av. Il est donc possible de reconnaître dans l'histoire du Proche-Orient ancien comme le fait M. Liverani des tendances de long terme vers un « élargissement de l'échelle des unités politiques, l'amélioration des technologies de production (et aussi de destruction), l'élargissement des horizons géographiques, et aussi le rôle croissant des individualités » tout en identifiant « une séquence cyclique de croissance et d'effondrement » qui crée des discontinuités[36]. Les travaux des rois d'Ur sont surtout connus dans la cité d'origine de la dynastie, où le grand temple du dieu Nanna est voisiné par plusieurs autres édifices importants, dont un servant de résidence à la grande prêtresse du dieu, un mausolée royal et un édifice palatial. J.-C., avec notamment la construction d'un palais servant à la dynastie locale, et dans ces mêmes années est fondée la ville de Hatra, qui se couvre d'un groupe monumental remarquable au milieu du IIe siècle ap. Ces institutions disposent de vastes domaines agricoles exploités de manière intensive, et aussi d'ateliers employant parfois des milliers d'ouvriers, placés sous un contrôle étroit. La Haute Mésopotamie de cette période encore mal connue semble marquée par un recul de l'urbanisation et de la « complexité » sociale et politique. British Museum. C'est peut-être ce qui déclenche les hostilités avec son allié Zimri-Lim de Mari, qui est vaincu en 1760, la ville étant ensuite détruite. Elles ont avant tout porté sur les secteurs monumentaux des grandes cités antiques (temples et palais) et également à plusieurs reprises sur des espaces résidentiels, tandis que plusieurs prospections archéologiques ont étudié les phases d'occupation antiques de différentes régions de l'ancienne Mésopotamie. Les méthodes de scellement sont modifiées avec l'apparition du sceau-cylindre, dont l'image se déroule sur une surface d'argile, qui devient caractéristique de la culture matérielle mésopotamienne. J.‑C. Cependant dès le VIIe millénaire av. La Mésopotamie signifie “Terre entre deux fleuves” et se trouve dans le pays de Sumer entre le Tigre et l’Euphrate.C’est dans cette région fertile qu’est née l’agriculture. Le principal site des débuts du VIIe millénaire av. Le royaume du Mittani est mal connu dans la mesure où il est essentiellement documenté par des sources extérieures. Les rois d'Isin et de Larsa reprennent la continuité de l'idéologie royale et des institutions de la troisième dynastie d'Ur : ils commémorent leurs hauts faits dans des inscriptions en sumérien, sont célébrés dans des hymnes dans la même langue, édictent des textes de lois (le Code de Lipit-Ishtar), proclament des édits de rémission des dettes reprenant l'idéal de roi juste, et certains se font diviniser (notamment Rim-Sîn)[108]. J.‑C. British Museum. La Babylonie est alors un lieu de combats récurrents, ses sanctuaires étant mis à contribution à plusieurs reprises par les rivaux, et ses villes subissant des assauts et destructions. J.-C.-Ier siècle ap. La Mésopotamie est une région historique du Proche-Orient, située dans le Croissant fertile : elle correspond pour la plus grande partie à l'Irak actuel.. La principale documentation sur la période provient des nombreuses (plus de 12 000 tablettes selon une estimation) archives de Nippur (v. 1359-1223), dont seule une minorité a été publiée. La Syrie et le Djézireh sont occupées majoritairement par des populations parlant les dialectes amorrites, mais on trouve également des populations parlant des variantes de l'akkadien (notamment à Assur, aussi dans le royaume de Mari) et le hourrite (le « subaréen » des textes de Mari), en particulier sur la frange septentrionale et à l'est du Tigre et au-delà (notamment les Turukkéens). Dans le royaume de Lagash, c'est avant tout le grand dieu local Ningirsu, qui est à la tête d'un véritable panthéon local à l'échelle du royaume, mais les rois invoquent aussi le patronage d'Inanna, la grande déesse d'Uruk, et surtout Enlil, dont le lieu de culte est situé à Nippur, qui est au moins à partir de cette période le dieu majeur du panthéon unifié de la Mésopotamie méridionale qui se dessine dans quelques textes (surtout les listes de divinités d'Abu Salabikh et de Shuruppak) et englobe les panthéons locaux. J.-C. quand cette dernière est soumise après plusieurs campagnes[153]. Copie d'une tablette de Nippur l'époque kassite : lettre d'Ili-ippashra, gouverneur de Dilmun, à Enlil-kidinni, gouverneur de la ville. La situation de la Haute Mésopotamie sous les Perses est très mal documentée. J.-C. l'Anatolie et le Levant, mais ne touche la Mésopotamie qu'au siècle suivant, et sous des modalités différentes, avec notamment l'expansion des Araméens, populations ouest-sémitiques manifestement originaires de l'espace syro-mésopotamien qui réduisent peu à peu le territoire dominé par l'Assyrie, puis aussi la Babylonie, qui a par ailleurs fortement décliné en raison de logiques internes. United States time now. J.-C.-224 ap. Dans la foulée, et pour des raisons non identifiées, il lance une offensive en direction de Babylone qui est prise et pillée, la statue de son dieu Marduk emportée. Musée du Louvre. Subject: Assyriology. De cette période date une remarquable tête de roi en alliage cuivreux d'un souverain, réalisée à la cire perdue, mise au jour à Ninive. Le mazdéisme, religion de la dynastie parthe, est en revanche moins attesté. C'est aussi lors de ce pillage que sont emportés à Suse en Élam plusieurs objets commémoratifs mésopotamiens, dont le Code de Hammurabi et la stèle de victoire de Naram-Sîn. Dans le domaine artisanal, les textes indiquent que les activités textiles occupent une grande importance, avant tout grâce à la laine des troupeaux de moutons des institutions, tandis que les accomplissements de l'artisanat de la métallurgie et de l'orfèvrerie sont bien documentés grâce aux découvertes archéologiques, notamment la maîtrise de divers alliages à base de cuivre comme le bronze arsénié et le bronze à l'étain dont l'usage commence alors à se répandre, de même que la métallurgie de l'argent et de l'or[76]. La situation est complexifiée par les débats sur la chronologie relative (voir plus bas), l'existence de périodisations concurrentes et divergentes chronologiquement, et le fait que le Nord et le Sud de la Mésopotamie partagent rarement les mêmes destinées et n'ont donc pas une périodisation identique. Comme l'ont démontré l'assassinat de Sennachérib, la difficile prise de pouvoir d'Assarhaddon, et la révolte de Shamash-shum-ukin contre son frère Assurbanipal, l'empire assyrien même au faîte de sa gloire est marqué par des intrigues au sein de la famille royale qui menacent sa stabilité, et cela se confirme après la mort d'Assurbanipal. Tablette provenant d'Uruk et datée de la période d'Uruk III (c. 3200-3000 av. Tablette des archives du temple de Bau de Girsu, sur la distribution de rations d'entretien, DA III B, musée du Louvre. Cette époque voit également l'apparition de l'écriture, sans doute sur ce dernier site, et la Basse Mésopotamie, reposant sur une agriculture irriguée très productive, joue un rôle de région motrice, influençant de façon marquée ses voisines, notamment la Haute Mésopotamie. Du point de vue de l'occupation, cette période (qui correspond du point de vue matériel au développement d'un type de poterie particulier, la « céramique du Khabur », surtout dans la Djézireh) voit une reprise après la chute de la fin du IIIe millénaire av. Statuette en bronze représentant trois bouquetins supportés par des divinités. Cette phase débute par la prise de Babylone par l'assyrien Tukulti-Ninurta Ier en 1225, et s'achève par la conquête de la Babylonie par les troupes élamites de Shutruk-Nahhunte et Kutir-Nahhunte III, ce dernier prenant Babylone en 1155 et emportant la statue du dieu Marduk, événement qui marque la fin de la dynastie kassite[159]. La première partie du règne de Hammurabi (1792-1750)[129] n'est pas marquée par des entreprises militaires importantes, jusqu'au tournant de l'invasion élamite de 1765-1764. Statuette protectrice en bronze du démon Pazuzu. J.‑C. Musée du Louvre. Boucles d'oreille en or et pierres précieuses exhumées dans une tombe de Ninive. An Wikimedia Commons mayda media nga nahahanungod han: Hrouda, Barthel and Rene Pfeilschifter; 2005. Plan de localisation des zones fouillées des bâtiments principaux du tell de Quyunjik, le centre politico-religieux de Ninive (une grande partie des palais n'a pas été dégagée). Ces évolutions se déroulent sur une très longue durée mais voient des périodes de changements plus marqués. Par ailleurs les nombreuses déportations organisées par le pouvoir assyrien à l'échelle de l'empire ont eu pour conséquence un important brassage de population qui à terme se traduit par une forte diffusion de la population et de la langue araméenne, en premier lieu en Haute Mésopotamie, jusqu'au cœur de l'Assyrie, où l'araméen semble devenir la langue dominante au VIIe siècle av. L'étude « historique » reposant sur les textes débute avec l'apparition de l'écriture aux alentours de 3400-3200. Du point de vue architectural, les premiers rois d'Ur III ont entrepris d'importants travaux qui allaient façonner pour les siècles à venir l'aspect des principaux lieux de culte de Sumer (Nippur, Ur, Uruk, Eridu en premier lieu), en les réorganisant autour d'imposantes cours murées, dominées par un temple sur terrasses, type d'édifices qui devait par la suite prendre le nom de ziggurat. Acum se inventeză scrierea care constituie o decisivă etapă in istoria umanitătii. Plutôt que de laisser des rois vassaux à leur tête, il met en place des gouverneurs, transformant donc les régions soumises en province assyriennes. Musée d'Alep. Elle est divisée en un ensemble de petites entités politiques que l'on désigne couramment comme des « cités-États » (Uruk, Ur, Lagash, Umma, Kish, etc. Musée de l'Oriental Institute de Chicago. Les années suivantes sont marquées par des conflits contre les cités de Phénicie, notamment le long siège de Tyr (585-573), qui permettent à Babylone de tenir plus fermement ses provinces occidentales[193]. Il y a donc pour cette époque des éléments tendant à démontrer le creusement des inégalités sociales au sein des communautés du Nord mésopotamien, qui sont dominées par une élite plus puissante qu'auparavant, dirigeant des entités politiques que l'on peut qualifier de « chefferies »[54]. Dans le Sud mésopotamien, cette période correspond à la fin de l'Uruk (niveau III de l'Eanna) et à l'époque dite de Djemdet-Nasr (v. 3000-2900), assez mal définie. Français : Localisation des principaux sites de la Mésopotamie à l'époque kassite. Le milieu de la cour royale est très bien documenté pour cette période grâce aux nombreux textes commémoratifs laissés par les souverains (annales royales, inscriptions de fondations, rapports et hymnes dédiés aux divinités assyriennes, etc.) Babylone a dès lors assuré sa domination sur la plupart des territoires qui appartenaient auparavant à l'empire assyrien[192]. Cette période voit le développement de l'architecture palatiale, attestée dans le Sud par les palais de Larsa et Uruk, qui ont un plan distinctif avec un secteur d'apparat organisé autour d'une grande cour ouvrant sur deux salles oblongues, la seconde étant la salle du trône (non identifiable dans les édifices palatiaux antérieurs)[109]. Assur dispose d'un roi, mais celui-ci est plus un primus inter pares dirigeant la cité aux côtés d'une assemblée de notables, l'« Hôtel de Ville », tandis que dans les comptoirs l'institution dirigeant le « quai » (kārum) de Kanesh, le quartier marchand, a un rôle important dans le règlement des litiges commerciaux. British Museum. Statue en terre cuite retrouvée à Assur représentant un roi Pergamon Museum. Delagrave. J.-C., documentant notamment le mariage du pharaon Amenhotep III avec la princesse mittanienne Taduhepa, fille du roi Tushratta. Les rois des régions qu'elle traverse sont en général contraints à prêter allégeance aux Assyriens et à leur verser un tribut, leurs révoltes se soldant par des sièges et une féroce répression, marquée par des pillages, des massacres et des déportations, instaurant une véritable politique de terreur chez les vaincus[173]. New Accept Merch by EMP! Pergamon Museum. Plus largement cette période voit un essor de la littérature en sumérien, appuyé par la création de lieux de formation des scribes, élaborant et recopiant des hymnes, prières, recueils de proverbes, épopées, mythes, etc. Tête en alliage cuivreux d'un roi d'Akkad retrouvée dans le temple d'Ishtar de Ninive, vers 2250 av. J.-C. Les membres de la famille royale y disposent de nombreux domaines, et y ont établi des domaines chargés d'entretenir les soldats de l'armée perse. L’ivresse en Mésopotamie : de la plénitude des sens à la déraisonDrunkenness in Ancient Mesopotamia: from Sensorial Satisfaction to Folly. Il y a néanmoins un processus d'accaparement et redistribution de terres au profit des proches du roi, attesté par les donations commémorées par l'obélisque de Manishtusu. Il s'agit en tout cas de périodes cruciales pour comprendre la nature des sociétés de la Mésopotamie antique[29]. La dernière modification de cette page a été faite le 12 janvier 2021 à 14:22. Although get-date -uformat is documented to return 'Unix format' and in Unix %V would return the ISO week number, Get-Date -uformat '%V' actually returns a 'Microsoft week' of the year. Empreinte de sceau-cylindre représentant de gauche à droite les divinités Ishtar, Shamash (en bas), Ea et Ushmu. Il n'est pas clair si le Mittani est apparu dès l'époque des premières offensives hittites en Syrie à la fin du XVIIe siècle av. Inscription d'Adad-shuma-usur (1216-1187 av. La période d'Akkad est mal connue du point de vue archéologique, notamment parce qu'elle n'est pas bien identifiée sur les sites car il n'y a pas de grands changements dans la culture matérielle par rapport à la fin du dynastique archaïque et de ce fait la limite entre les deux périodes est sans doute impossible à tracer. C'est en tout cas une période de reconstitution de pouvoirs centralisés au Nord et au Sud à partir de différentes entités en essor depuis les derniers temps de la première dynastie de Babylone, avec le triomphe progressif des Hourrites du Mittani et des Kassites de Babylone[140]. J.-C.-première moitié du XIVe siècle av. est marqué par les grands empires étendant progressivement leur domination à tout le Moyen-Orient. Metropolitan Museum. I. Gelb a proposé de regrouper les populations est-sémitiques de Basse et Haute Mésopotamie et Syrie (Kish, Abu Salabikh, Mari, Ebla) sous la dénomination de « civilisation de Kish », un ensemble culturel dominé par l'influence de Kish (sans domination politique), ou plus modestement une « tradition de Kish » surtout visible dans la formation et les pratiques de scribes. Zimri-Lim a dans son entourage des devins pratiquant l'hépatoscopie/extispicine, la lecture des messages divins dans le foie ou les entrailles d'agneaux sacrifiés, afin de l'assister dans ses prises de décisions[125]. L'Assyrie connaît une nouvelle phase d'expansion à partir du règne de Teglath-Phalasar III (744-727), sans doute un membre de la famille royale ayant usurpé le trône, qui parvient dès le début de son règne à mener à défaire une coalition organisée par l'Urartu en Syrie, puis à vaincre et à annexer plusieurs royaumes araméens. voit un changement d'échelle dans les formes d'intégrations sociales et politiques, marquée par l'apparition des premiers États et des premières sociétés urbaines. e z i d a. tableau chronologiques: PÉRIODES : DATES : de Jarmo et de Hassuna: 7e au 6e millénaire av. Transport de cèdre du Liban. Disque inscrit de Yahdun-Lîm, roi de Mari, v. 1800 av. British Museum. J.-C.). British Museum. Puis les premiers villages, les premières villes, les premières cités états et les premiers empires y ont vues le jour. Les trois successeurs de Sargon, surnommés les « Sargonides », dirigent alors un empire sans équivalent antérieur, et portent ses frontières encore plus loin, sans pour autant parvenir à stopper le cycle des conflits dans lesquelles leurs troupes sont engagées, qui sont surtout des révoltes de provinces et vassaux insoumis. Nabuchodonosor ordonne également des travaux dans les autres sanctuaires principaux de Babylonie : Sippar, Borsippa, Akkad, Kish, Dilbat, Uruk, Larsa, Ur, etc. J.‑C.) Les nécropoles de la période ne plaident cependant pas en faveur d'inégalités sociales marquées, quoi que cette période semble bien voir une complexification professionnelle accrue, par exemple avec la présence d'espaces de potiers, et des innovations technologiques avec les premières attestations de poterie au tour pour le VIe millénaire av. J.-C. est marqué par une fragmentation politique. L'obélisque de Manishtusu, Musée du Louvre. La chronologie basse a longtemps été la principale alternative, et la chronologie ultra-basse a connu une mise en avant à la fin des années 1990, surtout à partir d'analyses archéologiques[20]. Le découpage de l'histoire mésopotamienne en périodes de plusieurs siècles reprend des classifications propres à cette région, mais aussi d'autres partagées avec le reste du Proche-Orient ancien. Elle est notamment caractérisée par sa céramique peinte à motifs géométriques qui se retrouve sur un vaste espace allant du Zagros jusqu'à la Méditerranée, ses constructions circulaires en pisé (caractérisées comme des « tholoi » par M. Mallowan), son utilisation de l'obsidienne (importée d'Anatolie orientale), ses figurines féminines en argile, et l'usage courant de sceaux[46],[47]. J.‑C.[60]. Des chroniques postérieures indiquent que plusieurs de ses rois concluent des accords frontaliers avec des rois kassites, et une autre source indique par ailleurs que ce royaume est vaincu par le Mittani à la fin du XVe siècle av. En Basse Mésopotamie contemporaine, le plus ancien village connu est Tell el-Oueili, documentant les prémices de la culture d'Obeïd (phase Obeïd 0, v. 6200-5900 av. J.‑C. La formation et la conquête de la Haute Mésopotamie par le royaume du Mittani (souvent aussi appelé Hanigalbat dans les textes antiques) n'est pas documentée, et les sources à notre disposition pour le début du XVe siècle av. Tablette en pierre commémorant la restauration du temple de Borsippa par Hammurabi. J.-C.), puis les Grecs séleucides qui succèdent aux conquêtes d'Alexandre le Grand (330-141 av. Le royaume de Nagar, allié d'Ebla, est également connu par les fouilles d'un des sites en dépendant, Tell Beydar (Nabada), où ont notamment été exhumées les ruines d'un palais et des archives administratives, témoignant de l'existence dans cette région d'institutions similaires à celles des cités de Basse Mésopotamie. Ier siècle av. Vidéo: La vie quotidienne dans les villes de Mésopotamie - (durée: 3 mn 14) Images de synthèse Objectifs: - Appréhender certains… elle voit le développement de cultures dynamiques, voyant l'expansion progressive des villages agricoles dans toute la Mésopotamie : la culture de Hassuna (v. 6500-6000 av. Ibbi-Sîn (2028-2004) perd dès ses premières années de règne le contrôle de la plupart des provinces de l'empire, où émergent plusieurs dynasties autonomes, notamment à Isin où s'installe Ishbi-Erra, un ancien serviteur du roi d'Ur. L'essor de la métallurgie (du cuivre surtout) incite par ailleurs au développement des échanges à longue distance. À cette époque, l’araméen (qui s’écrit en alphabet) commence à supplanter … J.-C.). J.‑C., qui voit le développement des sources textuelles permettant de connaître l'histoire événementielle, autour d'entités politiques dont la terminologie est reprise de l'Antiquité (Akkad, Ur III, Isin-Larsa, Babylone I, etc. Tukulti-Ninurta construit à proximité une nouvelle capitale, Kar-Tukulti-Ninurta (« Port de Tukulti-Ninurta »), d'environ 250 hectares, où il érige un palais royal et un grand temple dédié au dieu national Assur, avec une ziggurat, projet qui ne lui survit pas. J.-C. Musée du Louvre. Tablette de l'archive de la « firme » des descendants de Murashû, Nippur, v. 423 av. À Mari, Yasmah-Addu est renversé par Zimri-Lim, qui se présente comme un descendant de l'ancienne dynastie locale, et est appuyé par le roi du Yamkhad. J.‑C. Metropolitan Museum of Art. Cette cité est un temps le suzerain d'Ebla, qui s'extraie ensuite de sa domination. L'Épipaléolithique final (v. 15000-10000) de l'Irak correspond à la culture de Zarzi qui couvre le Kurdistan irakien avec les grottes de Zarzi, Palegawra, Shanidar B2 puis B1 et Zawi Chemi, et aussi le Zagros occidental. Ces observations sont parvenues jusqu'à nous grâce à une recopie effectuée au VIIe siècle av. Sous les règnes d'Abi-eshuh (1711-1684) et Ammi-ditana (1683-1647), l'autorité des rois de Babylone s'est donc réduite autour d'un noyau situé au Nord de la Babylonie, et aussi sur la partie méridionale du Moyen-Euphrate, jusqu'à Terqa. Si le royaume d'Akkad est défini comme un empire, c'est notamment pour ses aspects idéologiques, affirmés à partir du règne de Naram-Sîn et ses ambitions universelles. Après cela la documentation cunéiforme diminue en quantité, parce que l'alphabet araméen écrit sur papyrus et parchemin est alors devenu plus courant, et est appuyé par le pouvoir perse qui a promu l'« araméen d'empire » au rang de langue officielle de l'administration impériale[207]. Bétail et végétaux : les richesses de la Basse Mésopotamie urukéenne sur le grand vase d'albâtre retrouvé à Uruk, Pergamonmuseum. Statue colossale d'un oiseau, Tell Halaf. J.-C.. Mais les groupes araméens consolident progressivement leurs bases et évincent les Assyriens de la majeure partie de la Djézireh à partir de la fin du XIe siècle av. J.-C. L'une passe sous la coupe des Hittites, l'autre sous celle de l'Assyrie, ancien vassal du Mittani, qui prend finalement le dessus dans le courant du XIIIe siècle av. Naram-Sîn (v. 2254-2218) est la seconde grande figure de la dynastie d'Akkad. La confrontation entre les deux tourne à l'avantage du second, qui se retrouve maître de toute la Basse Mésopotamie. Les tombes royales d'Ur du début du DA III, avec leur riche mobilier funéraire et leurs occupants accompagnés par des dizaines de serviteurs dans leur trépas, sont cependant un cas sans parallèle pour la région. J.‑C. British Museum. Les rois d'Akkad se présentent en général comme choisis par le grand dieu Enlil, mais mettent aussi en avant la figure d'Ishtar d'Akkad, déesse tutélaire de leur capitale. J.-C. Cette période voit aussi l'apparition des premières communautés chrétiennes en Mésopotamie (un évêque serait ordonné à Ctésiphon dès la fin du Ier siècle)[223]. Intellectual pursuits were highly valued across Mesopotamia, and the schools (devoted primarily to the priestly class) were said to be as numer… Cette période voit notamment l'apparition de la communauté juive de Babylonie, promise à un long avenir, à la suite de la prise de Jérusalem.
Peugeot 208 Wrc 2020 Loeb,
Citation Oeuvre D'art,
Centre Médical Saint-lazare Ophtalmologie,
Devises Romaines 7 Lettres,
Ingrid Chauvin Fille,
Réchauffé En 5 Lettres,
Attestation Sur L'honneur Exemple,
208 T16 Fiche Technique,